Une petite page un peu fantaisiste remplie de mots en P se retrouvant dans de bons dictionnaires mais, sauf erreurs, pas dans l’ODS.

Mon vieux traitement de texte Microsoft admet les mots mis en bleu et refuse les  mots mis en rouge. Retrouverons-nous dans l’ODS 8 ces mots absents compris de presque tous sans définition ?

Personnellement pour les prochains ODS, je préfèretais des mots compréhensibles aux incompréhensibles.

Ces paindépiciers pelus aux haillons pestilents sont tellement gros qu’un pèsement est impossible. Ils ne sont plus pesables et pestifèrent. Ils puent l’un le pippermint, l’autre la poissonnaille ou des particules phycologiques venant de leur parrain pendeur de harengs à fumer, et c’est pire quand ils poivrotent.

Ce sont des papoteurs paganisants vivant palpablement païennement dans un environnement pampéen pandémoniaque difficilement parcourable en auto sans parabuée ou sans pausette tant le pépiage de ces pépieurs postillonneurs est permanent et je ne pige pas leurs picardismes périssants.

Ces profascistes au prussianisme évident méritent des perpettes tant ces poignardeurs se permettent de papouiller prompto persévéramment leurs victimes au delà du permissible, ce qui est une attitude persécutante horriblement persécutive dont ils se foutent de la peccabilité au mépris de la providentialité des bienfaits venant du  créateur.

Sans me piédestaliser ni pédantiser provincialement ou plébéiennement, je ne parle jamais pédantesquement et je suis un pataphysicien perspicacement pactiseur, partisan d’une vraie pactisation, mais ils ne sont pas persuasibles et je ne supporte pas la pignouferie tantôt plastronnante tantôt pleurnichante de ces politicailleurs profitards politicaillant phobiquement pour un panasiatisme, sans perceptibilité des dangers de cette attitude.

Des petites pierres et cailloux philosophaux à la parabolicité presque parfaite pendeloquent à leurs cous. Je ne perçois pas comment ces collectionneurs de polypiers parviennent à les paraboliser. Leur présence me provoque un pâlissement et des picotis, des pinçotements et cela pinçotera jusqu’à ce que je parte me plumarder.

Je leur place du matériel de parlophonie prolongeable ainsi que des panneauteuses parachevables avec un parafeu à paralléliser. Faut qu’après avoir planté des perchettes peu ployantes, j’aille me faire pédicurer privativement chez la fille prétuberculeuse de la peignerie dont des prosoviétiques pygmoïdes au prosoviétisme effréné prétendent pusillanimement et sans pouffement que son putanat est prouvé. Je ne crois pas à sa putasserie dont cette profération me scandalise et est due à son attitude prosternante.

Après le repas où je me contente d’un léger picorement, pendant ma prédigestion, je profite de sa musique préchrétienne préfiguratrice de partitions préceltiques et prébaroques aux vers postbibliques et posthomériques parfois profanement pouffants et pissants. Des sonorités proches du pupulement de la huppe m’enthousiasment. J’aime entendre pupuler les huppes.

Elle vit prospèrement malgré une préscolarité défaillante. Projectivement, je pense que ses peintures polychromées aux thèmes prosémites risquent posthumément de valoir des picaillons même s’ils sont l’œuvre d’un peintureur au prosémitisme étonnant, d’un pinceateur utilisant des produits polymérisants poudroyants et poissants qui risquent de se pelurer.